Désespoir du démon
Que
ce réveil est amer
La satisfaction de la victoire passagère
Cette rencontre fut provoquée
Comme si mon destin était scellé
Accroupie dans un cercle de feu qui brasille
Je ne distingue aucune étoile qui brille
Autour de moi la nuit s’éternise
Si opaque que mes espoirs se brisent
Ici tout n’est que sorcellerie
Même ce rideau d’énergie brûle d’envie
De me rappeler le confinement de mon espace de vie
Il ne dégage aucune chaleur
Et si ma silhouette pourtant fluette le caresse
Il lui délivre une violente douleur
Je crie mon désespoir sans cesse
Quand ma vision devint plus perçante
J’aperçu des silhouettes menaçantes
Le son d’une voix m’est familier
A quelle occasion l’ai-je entendu parler ?
Une silhouette encapuchonnée s’approche
Et d’une voix chargée de reproche
S’exclame le gardien des prisons
«Ne t’approches pas du démon !!!»
Je me sens fragile et vulnérable
Qui sait ce dont ils sont capables
Je sens leur crainte mais leur haine est plus forte
Je sens leur faiblesse mais leur folie est plus grande
Qui pourrait réchauffer mon cœur
Et effacer de mon esprit ces douleurs
Je me relève et me dresse enfin
Piquée à vif par tous ces regards malsains
Chaque parcelle de ma peau est victime de ces dards
Je suis nue aux yeux de tous à bien des égards
Entravée telle une bête curieuse et dangereuse
Un être méconnu qui inspire les pires craintes
Et déchaîne ce que l’Homme a de plus noirs
en lui Je prends conscience de ma condition de mortel
Bien que par ma mère je sois immortelle
Je broie du noir en cet instant
Oh Flora je t’aime Maman
J’aimerais tant te serrer dans mes bras
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>La satisfaction de la victoire passagère
Cette rencontre fut provoquée
Comme si mon destin était scellé
Accroupie dans un cercle de feu qui brasille
Je ne distingue aucune étoile qui brille
Autour de moi la nuit s’éternise
Si opaque que mes espoirs se brisent
Ici tout n’est que sorcellerie
Même ce rideau d’énergie brûle d’envie
De me rappeler le confinement de mon espace de vie
Il ne dégage aucune chaleur
Et si ma silhouette pourtant fluette le caresse
Il lui délivre une violente douleur
Je crie mon désespoir sans cesse
Quand ma vision devint plus perçante
J’aperçu des silhouettes menaçantes
Le son d’une voix m’est familier
A quelle occasion l’ai-je entendu parler ?
Une silhouette encapuchonnée s’approche
Et d’une voix chargée de reproche
S’exclame le gardien des prisons
«Ne t’approches pas du démon !!!»
Je me sens fragile et vulnérable
Qui sait ce dont ils sont capables
Je sens leur crainte mais leur haine est plus forte
Je sens leur faiblesse mais leur folie est plus grande
Qui pourrait réchauffer mon cœur
Et effacer de mon esprit ces douleurs
Je me relève et me dresse enfin
Piquée à vif par tous ces regards malsains
Chaque parcelle de ma peau est victime de ces dards
Je suis nue aux yeux de tous à bien des égards
Entravée telle une bête curieuse et dangereuse
Un être méconnu qui inspire les pires craintes
Et déchaîne ce que l’Homme a de plus noirs
en lui Je prends conscience de ma condition de mortel
Bien que par ma mère je sois immortelle
Je broie du noir en cet instant
Oh Flora je t’aime Maman
J’aimerais tant te serrer dans mes bras
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