Merveilles des saisons
La
nature tel un décor figé
Montagnes et collines sont drapées
D’un linceul blanc immaculé
Portrait de la vie prisonnière des frimas
J’entends seulement les crissements de mes pas
Seuls échos à ce silence autour de moi
Q’une pluie de neige sans peine étouffa
Un son limpide et chantant s’éleva
Tel un serpent bleu-gris il se faufila
Spectacle magnifique de l’eau dans tous ses états
La nuit semblent craindre toujours plus le jour
Les neiges s’évanouissent lentement
Le soleil encore froid annonçe des changements
Le silence apaisant perdait de sa pureté
La neige de son éclat
La morsure de l’hiver de sa rigueur
Plus violents sont les clapotis des cours d’eau
Plus retentissants sont les chants des oiseaux
Les premières couleurs des crocus, nivéoles et perces-neige
Triomphèrent de leur tombeau de neige
Puis ce fut au tour des narcisses, anémones et boutons d’or
Mille fleurs éclatantes s’épanouirent
Joie de vivre, du printemps elles souhaitent jouir
Les pruniers aux grappes chargées de fleurs blanches
Aux bourrasques de leurs pétales délicats et soyeux
Mimaient à merveille les tempêtes de neige passées
Prolongeant pour quelques temps encore
L’illusion que l’hiver serait interminable
La flamme de la vie de toute part surgit
Quand le vert perça et enfin s’étoffa
En un rien de temps tout s’accéléra
Ces paysages majestueux retrouvèrent de leurs couleurs
L’espace fut emplis de parfums
De l’entrelacs d’une flore conquérante
Mon champ de vision se réduit mais s’emplit de merveilles
Les forêts retrouvèrent leur atmosphère de mystère
Les prairies et pelouses étincelaient des couleurs de l’arc-en-ciel
Le printemps réchauffaient nos corps et nos cœurs
Promesses de douceurs et d’espoirs en des jours meilleurs
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Montagnes et collines sont drapées
D’un linceul blanc immaculé
Portrait de la vie prisonnière des frimas
J’entends seulement les crissements de mes pas
Seuls échos à ce silence autour de moi
Q’une pluie de neige sans peine étouffa
Un son limpide et chantant s’éleva
Tel un serpent bleu-gris il se faufila
Spectacle magnifique de l’eau dans tous ses états
La nuit semblent craindre toujours plus le jour
Les neiges s’évanouissent lentement
Le soleil encore froid annonçe des changements
Le silence apaisant perdait de sa pureté
La neige de son éclat
La morsure de l’hiver de sa rigueur
Plus violents sont les clapotis des cours d’eau
Plus retentissants sont les chants des oiseaux
Les premières couleurs des crocus, nivéoles et perces-neige
Triomphèrent de leur tombeau de neige
Puis ce fut au tour des narcisses, anémones et boutons d’or
Mille fleurs éclatantes s’épanouirent
Joie de vivre, du printemps elles souhaitent jouir
Les pruniers aux grappes chargées de fleurs blanches
Aux bourrasques de leurs pétales délicats et soyeux
Mimaient à merveille les tempêtes de neige passées
Prolongeant pour quelques temps encore
L’illusion que l’hiver serait interminable
La flamme de la vie de toute part surgit
Quand le vert perça et enfin s’étoffa
En un rien de temps tout s’accéléra
Ces paysages majestueux retrouvèrent de leurs couleurs
L’espace fut emplis de parfums
De l’entrelacs d’une flore conquérante
Mon champ de vision se réduit mais s’emplit de merveilles
Les forêts retrouvèrent leur atmosphère de mystère
Les prairies et pelouses étincelaient des couleurs de l’arc-en-ciel
Le printemps réchauffaient nos corps et nos cœurs
Promesses de douceurs et d’espoirs en des jours meilleurs
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